- le carbone brun : celui des émissions industrielles de gaz à effet de serre qui affectent le climat.
- le carbone vert : le carbone stocké dans les écosystèmes terrestres (biomasse, sols, zones humides, etc.) et qui est de plus en plus reconnu comme un élément clé des négociations CCNUCC.
- le carbone bleu : le carbone lié aux océans. On estime que 55% du carbone des organismes vivants est stocké dans les mangroves, marais, prairies sous marines et autres récifs coralliens.
- le carbone noir : fruit de la combustion incomplète des carburants, il diminuerait très sensiblement par la mise en place de technologies propres.
En stoppant la perte de carbone vert et de carbone bleu, le monde pourrait atténuer jusqu'à 25% les émissions de gaz à effet de serre, cela avec des effets bénéfices pour la biodiversité, la sécurité alimentaire les moyens de subsistances (IPCC 2007, Nellemann et al. 2009).
Il faut jouer sur les quatre couleurs de carbone !